23 janvier 2017
Le "serpent de mer" du revenu universel d'existence.
« L’origine de l’expression « serpent de mer » proviendrait d’une analogie avec le monstre marin mythique qui apparaissait aléatoirement dans toutes les mers du monde sans que l’on puisse prouver son existence. Fréquemment évoqué par les marins, cela donnait lieu à de virulents débats quant à la véracité des événements relatés... »
Benoît Hamon, au nom de la gauche du passé, réactive le paradoxe idéologique du revenu universel. Son coût éléphantesque, dans un État surendetté, serait couvert (serait non-couvert), en particulier, par une augmentation de la taxe foncière qui concerne 62 % des Français...
Pour s’exprimer avec rigueur et sagesse, si possible, lors du second tour de la primaire de la gauche, la lecture de l’important article, très sérieusement documenté, de Wikipédia, par exemple, sur le revenu universel, est une aide précieuse quand on veut savoir avant de voter. Les analyses complexes et fortement contradictoires demandent un temps assez long pour une clarification nette.
Et puis, est-il pertinent de « réanimer » une fois de plus cette idée de théologiens chrétiens du premier millénaire ? Est-il pertinent de promouvoir l’utopie d’un jardin d’Éden controversé?
Annie Keszey.
Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : benoît hamon, primaire de la gauche, revenu universel, serpent de mer, jardin d'éden, annie keszey | |
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